Souvenir de jeunesse - Von meiner brennenden Liebe
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Souvenir de jeunesse - Von meiner brennenden Liebe
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Ratzeburg, Deutscher Bund
13. September 1842Mein Ziel Silke,
Das ist jetzt fast zehn Jahren dass wir uns sein gesehen. Und mehr eines halb Jahrhundert, und ich habe nicht geändert. Bin ich ein Ungeheuer? ich wäre er doch ich tötete, doch ich verschlang Kinder oder Leute. Bin ich ein Widersinnigkeit oder ein Gottesauserwählter?
Ben ich bestimmt Sie alt werden zu sehen, während ich es sicher niemals werden werde?
ich habe an Sie Seiten vergrößert, zur gleichen Zeit wie Sie, und jetzt dass mein Körper ist Erwachsener, Zeit scheint angehalten werden.
Aber es ist mein Wille nicht, im Gegensatz in dem Eindruck Ihres Vaters, ich habe niemals und ich werde niemals machen schwarze Messen, noch Opfer dem Teufel um meine ewige Jugend zu behalten. Ich weiß nicht warum, ich bin einfach wer ich bin.
Was muss ich machen um Sie wieder zu sehen? Muss ich Sie zu vergessen und mich ausweisen, damit niemand glaubt dass ich dämonisch bin? Warum ist dieser kein göttlicher Segen? Ist das weil er wusste dass ein Mensch neidisch und stolz kann sein? Es sei oder nicht der Fall, ich kann mich nicht entschließen Sie zu vergessen.
Ich stütze nicht mehr mich in der Angst zu verkriechen, weit weg von Ihrem Herzen. Ich habe ein Haus erworben dank Geld meiner Familie, und arbeite gegenwärtig als Diplomat
für eine Adlige von Waischenfeld. Und wenn diese Qual auf mich nicht umgestürzt war, ich hätte gewünscht, um Sie anzuhalten.
Wenn Ihre Leidenschaft auch stark ist wie meiner, ich bitte Sie inständig, auf meine Briefe zu antworten. Ich weiß dass Sie nicht verheiratet sind, und ich hoffe dass Ihre Gefühle für mich der Grund sind. Mein Herz bittet Sie inständig anzunehmen mich wieder zu sehen, sogar heimlich.
Der ewige junge Mensch dessen Herz für Sie schlägt.
Axel Von Engel.
- Spoiler:
- Ratzeburg, Confédération Germanique
13. Septembre 1842- Ma tendre Silke,
Voici maintenant bientôt dix années que nous ne nous sommes vu, et plus d'un demi-siècle et je n'ai pas changé.
Suis-je un monstre ? Je le serais sans doutes si je tuais, dévorai les enfants ou les hommes.
Suis-je une abération, ou un élu de dieu ?
Suis-je fais pour vous regarder vieillir alors que sans doutes jamais je ne le ferais ?
J'ai grandis à vos cotés, en même temps que vous, et à présent que mon corps est adulte le temps semble ne plus avoir la moindre emprise sur moi.
Mais cela n'est nullement de ma volonté, contrairement aux impressions de votre père je n'ai jamais et ne ferais jamais nulle messe noire, ni sacrifice au malin pour conserver mon éternelle jeunesse.
J'ignore pourquoi, je suis simplement ce que je suis.
Que dois-je donc faire pour vous revoir ?
Dois-je vous oublier, et mener une vie d'exilé afin que nul ne me penses démoniaque ?
Pourquoi ne peut-il s'agir d'une bénédiction divine ?
Serais-ce parce qu'il savait combien un être humain est capable de jalousie et d'orgueil ?
Que ce soit ou non le cas, je ne puis me résoudre à vous oublier.
Je n'en puis plus de me terrer dans la peur, loin de votre cœur.
J'ai fais l'acquisition d'une maison, grâce à l'argent de ma famille, et travaille actuellement comme diplomate au service d'un noble de Waischenfeld, et si ce tourment ne s'était pas abattu sur mon être j'aurais désiré demander votre main.
Si votre passion est aussi ardente que la mienne, je vous supplie de répondre à mes lettres.
Je sais que vous n'avez accepté nul mari, et garde l'espoir que vos sentiments à mon égard en soit la cause.
Mon cœur vous supplie d'accepter de me revoir, fût-ce sous le couvert des ombres et du secret.
L'éternel jeune homme dont le cœur bat pour vous.
Axel Von Engel.
Tandis que je relisais le brouillon de cette lettre, mon âme tout entière bouillonnait d'impatience.
Enfin j'allais pouvoir revoir celle qui hantai mes nuits comme le fantôme d'une folie passée !
Cette attente me rendait fou, mais la date du rendez-vous qu'elle avait finie par accepter de me fixer ne serait pas avant plusieurs jours.
Ce qui voulait dire préparer mes affaires et partir sur les routes dès ce soir, car la distance à cheval se voulait comptable en journées de route.
Enfouissant tout le nécessaire dans mes sacs, c'est le cœur rempli d'étincelles que je pris congé de mon employeur, lui ayant brièvement expliqué que j'avais un rendez-vous familial de première urgence.
Veste soigneusement attachée, sacoche jetée sur l'épaule et fixée durement pour ne pas tomber, je verrouillai la porte de mon antre avant de me diriger d'un pas pressé et nerveux vers les écuries.
Les ruelles de pavé inégaux menaçaient de me tordre les chevilles à chaque instants, mais j'arrivai pourtant rapidement sur la grand place bondée de monde.
C'était visiblement une journée de marché, et toute la ville semblait se donner ce rendez-vous bi-semestriel.
Nerveux comme il ne l'avait jamais été, Axel bouscula plusieurs personnes qui le regardèrent avec mépris -chose qui le laissait dans la plus totale indifférence- tandis que ses pas le menèrent enfin à l'écurie où l'attendait Crinière d'Ombre, son étalon, et lança une pièce au garçon d'écurie.
- Selle ma monture rapidement, je suis pressé !
Le jeune homme s'exécuta prestement non sans avoir croqué la pièce pour en vérifier l'autenticité.
Le jeune homme aurait pu s'offenser de pareille suspicion, mais elle était le lot de toute personne de la ville.
Personne n'est à l'abris d'un faussaire.
Ce qui ne m'empêcha guère de partir rapidement à la poursuite de mon humanité...
Kagetori Shishio- Bunto à puissance moyenne
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Re: Souvenir de jeunesse - Von meiner brennenden Liebe
Le paysage défilait devant les yeux du cavalier, altéré par la rapidité de la course.
Il n'avait le temps de tout voir, et exceptionnellement s'en moquait.
Son esprit était ailleurs, il se trouvait déjà auprès de sa belle, ses moindre pensées lui étaient vouées.
Comment allai t-elle ?
Qu'était-elle devenue ?
L'accepterai t-elle comme il l'espérait ?
Cette question amère l'amena à talonner son cheval de nervosité, celui-ci accélérant encore la course.
Par bonheur, l'étalon était endurant, mais surtout plein de fougue à l'image de son maître.
Au loin, des hommes dans la forêt observaient le cavalier.
Un long manteau noir flottant derrière sa monture pressée, attaché par une broche d'or en forme de feuille recouvrant une chemise à jabot, des cuissardes de cuir de très belle qualité, pas de doutes cet homme devait être plein aux as !
Lorsque Axel entra dans la clairière, il ne put voir à temps le tronc d'arbre barrant la route et son cheval se cabra instantanément, le projetant au sol avec violence. Qui pouvait oser ? Il n'avait pas le temps pour ça !
Des hommes à l'allure peu engageante sortirent des bas-coté de la route, agitant leur gourdins en ricanant.
Outre leur odeur écœurante, et leurs sourire édentés, il était certain au vu de leur vêtements jaunis et tachés qu'ils ne devaient pas avoir de paye tous les jours.
De même, leurs joues creusées laissèrent à penser à Axel qu'ils se battraient sauvagement pour un peu de nourriture.
- Alors, mon beau m'sieur, ou on cours comme ça ? Dit le premier tandis qu'il tapotait agressivement son arme dans le creux de sa main.
- Il n'y a aucune raison que j'en parles. Que voulez-vous ?
- Votre or, mon bon m'sieur !
- Si ce n'est que cela, prenez-le, je n'en ai que faire, ajout le jeune homme tandis qu'il délaçait le cordon de sa bourse pour la lancer aux pieds de son opposant. L'homme, les yeux brillants devant tant de monnaye d'or, lâcha son arme pour s'empresser de ramasser les pièces.
- Il doit avoir pas mal de trucs dans ses fontes, le bon m'sieur. On d'vrais pas...
Tandis que l'un des acolytes lorgnait l'étalon, Axel avait d'un même geste sorti sa rapièce à une vitesse impressionnante, bénissant son professeur d'escrime, et fait un bond en avant pour transpercer la poitrine de l'homme à genoux face aux pièces, lui perforant le poumon avec netteté. Mais alors qu'il posa sa botte sur le torse de l'homme pour repousser le corps crachant son sang et dégager sa lame d'un coup sec, il senti une masse dure lui écraser les côtes.
Projeté sur le coté, il roula plusieurs mètres avant de se relever, le souffle coupé par l'attaque.
Plusieurs autres badaud s'avançaient, et il rageait de perdre ici un temps précieux !
Après s'être relevé et avoir calmé sa respiration, il laissa ses ennemis arriver à lui.
Le premier se rua sur lui et tandis qu'il ouvrait grand sa garde en mettant son arme au dessus de sa tête pour porter un coup plus puissant, la lame s'enfonça profondément dans sa poitrine.
Le second s'approcha avec la ferme intention de se battre un peu mieux que son voisin.
Axel leva son arme que l'homme fixait et qu'il tenta de frapper de la sienne.
Un réflexe de débutant que de vouloir frapper l'arme de l'adversaire, se dit il tandis qu'il lui envoyait un puissant coup de genoux dans l'entrejambe qui plia en deux son adversaire de douleur.
- Ramassez immédiatement vos restes ou je vous massacres tous jusqu'au dernier !
Il joua la carte de l'intimidation alors que l'infériorité numérique aurait rapidement eu raison de lui...
Et poussa un long soupir de soulagement en constatant que cela venait de lui sauver la vie.
Il s'approcha des cadavres abandonnés par ses assaillants et commença par essuyer sa lame.
En repensant, cela faisait un moment qu'il n'avait pu se nourrir...
Kagetori Shishio- Bunto à puissance moyenne
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