Mes poèmes :: Keira
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Mes poèmes :: Keira
Bon, ces poèmes, je les mets en ordre :: du moins récent au + récent. :: Ça peut paraitre bizarre venant de moi, mais bon^^ certains poèmes sont à retravailler, sachant que je vous montre mon parcours dans la poésie.. ( qui est assez noire d'ailleurs... )
Le son de la valse joyeuse
qui se répète et me rends heureuse,
Le temps s'arrête pour écouté cet air,
si je voulais danser il me suffirais de le faire,
Cette mélodie pourtant si jolie,
a un côté plein de mélancolie,
la faible voix qui nous fais rêver,
c'est pourtant simple, je ne peux plus m'arrêter,
j'ai l'impression d'être en train de voler,
voler comme ange libéré,
danser, ce n'est pas un crime,
entendez l'oiseau en haut de la cime,
vous rêverez, c'est sur,
mais en sortir, c'est moins sur!
__________
Un jour je partirai loin,
Dans un pays lointain,
Car je veux retrouver,
Cette amitié perdue.
Je veux regagner ta confiance,
Ne pas sombrer dans l'ignorance,
Que tu me dises la vérité,
De ton avenir, de ton passé.
Si tu veux que je te laisse,
Dis moi pourquoi tu es partit,
Dis moi pourquoi si soudainement,
Tu t'es enfui.
Tu as essayé de t'accrocher à la rive,
Pour pouvoir survivre,
Pour être sur d'assouvir ta vengeance,
Mais la rive croule sous la violence.
Pourquoi tuer celui qui a tué,
Pourquoi s'acharner,
Tu ne fais que t'épuiser,
Laisse le temps couler.
Laisse toi emporter par le courant,
Il te montrera le chemin,
Mais n'écoute pas ce chant,
Celui de l'incertain.
Si tu reviens,
Je t'attendrais,
Seulement si c'est la fin,
Alors ne reviens jamais…
________
Pourquoi ma vie sombre dans le désespoir,
Pourquoi est-ce que je vois tous en noir,
J’ai l'impression de tomber dans un gouffre,
Je sais, je souffre,
Mais comment remonter de si profond,
Je suis dans un océan,
Je me noie,
Je n'arrive pas à trouver d'issues,
Je ne peux même pas compter la malchance que j'ai eue,
Ça n'a plus d'importance,
Je me noie, je ne peux nager dans la souffrance,
Je coule, je n'en peux plus,
Lassez-moi, ma vie, je ne la veux plus...
__________-
J'ai pleuré toute la nuit,
J'ai pleuré jusqu'à aujourd'hui,
Je pleurerais demain,
Et le reste de ma vie.
Les larmes ont coulés une par une,
Tel l'eau du robinet qui fuie,
Toute les nuit en regardant la Lune,
J'entends souvent un cri.
Ce cri, c'est celui de mon cœur,
Un cri remplie de terreur,
Effrayé par la noirceur,
Celle qui renferme toutes les peurs.
Celle pourtant qui craint,
Tout ce qu'elle chérit,
C'est un sombre dessein,
Un cercle infini.
Mais l'arme qui a servit,
À me faire souffrir,
Est toujours ici,
Planté dans mon cœur, pour me voir mourir…
___________________
Ça y est je suis prête,
J'entends les clochettes,
Je m'avance vers l'hôtel,
À chaque pas un peu plus éternelle.
La soie rouge recouvre le lit,
Comme un bain de sang qui s'étant à l'infini,
Le blanc brillant de chaque petit pli,
À cette simple idée je souris.
Je me glisse sous les draps de soie,
Je sens le rêve m'emporter au temps des rois,
Et toujours je m'avance vers l'hôtel,
Toujours un peu plus éternelle.
Dans une cape virevoltant dans le vent,
En haut d'une falaise d'où on voit l'océan,
J'entends encore ce chant,
Le son des clochettes se rapproche.
Et toujours je m'avance vers l'hôtel,
Celui qui me rendra éternelle,
L'hôtel de la mort,
Je serais éternelle encore et encore…
________________
Seule dans les limbes de mes souvenirs,
Seule, l'avenir me réserve le pire,
À coups d'épées je suis le courant,
Celui du temps, celui du sang,
Mais je sais que sur ce navire,
Je ne pourrais certainement pas parvenir,
À rejoindre les côtes du mon pays,
Car c'est seulement là-bas que je souris,
Seule dans le donjon des martyres,
Seule, je ne peux pas rire,
Ces visages me regardent fixement,
J'attends, j'attends le bon moment.
Le moment de s'évader,
Il est enfin arrivé,
Courons, courons,
À en perdre la raison,
Reprenant mes esprits,
Je prends mon épée et me dit :
Non, ce n'est pas fini,
Je me battrais toute ma vie,
Les instants de gloire m'attendent,
Il suffit de m'y rendre,
Et dans la foulé, je traverserais,
Afin d'y arriver, à ce moment de gaité.
______________-
Dans la clarté du matin,
On trouve toujours un léger chagrin,
C'est la rosée au levé du soleil,
Quand les fleurs s'éveillent.
Quand on y met les pieds,
C'est légèrement mouillé,
Et puis les perles disparaissent,
Pour devenir ivresse.
Tout doucement,
Les cheveux dans le vent,
Le soleil réchauffe l'air,
Et ma peau claire.
Assise sur la terre humide,
Jouent avec cette eau limpide,
La faisant passer entre mes doigts,
Elle glisse et retombe plus bas.
Bercée par le paysage,
On croirait un présage,
Une illusion profonde,
Une vie sans encombres.
La journée passe,
Et moi je trépasse,
Entre la vie et la mort,
Je rêve encore.
Le soleil se couchant,
Moi, m'allongeant,
Profitant de mes derniers instant,
Je revois mes précieux moments.
Certains tristes,
Quelques-uns heureux,
La plupart insistent,
Pour rester dans mes yeux.
Je sens le vent m'emporter,
Vers les étoiles brisées,
Celles qui sont nées déchu,
Et sont mortes dans les rues.
Je suis née éclatante pourtant,
Mais j'ai reçu le châtiment,
Celui d'être brisé,
À tout jamais.
Pourquoi?
Parce que,
J'ai vécu dans la mort,
En ayant des remords,
Je suis morte dans les prés,
Chaleureux et ensoleillés...
_____________
Chaque pas est une douleur,
Chaque son donne mal au cœur,
Et tous les jours elle effleure,
Les remparts de son cœur.
Elle parcourt son chemin,
De vie qui mène loin,
Plein de recoins,
Pour rester loin.
Loin de tous ces regards,
Des mots à son égard,
De tous ces fêtards,
Qui ne pensent qu'à la gloire.
Elle, seule, dans ses pensées,
Ne pense qu'à se suicider,
À finir cette soirée,
Sous le ciel étoilé.
Calmement, elle descend,
Un couteau dans les mains,
Tout se passera bien,
Dans son sang, elle baignera demain.
Ce lendemain qu'elle ne verra pas,
Ce lendemain qui semble incertains,
De se montrer ou pas,
Car il n'a pu la sauver cette fois.
___________
Comment décrire ce que l'on ressent,
Quand tous les jours, les passants,
Te regarde de cet œil, bizarrement.
Comment accepter la vérité aujourd'hui,
Si à chaque soir, toutes les nuits,
Tu pleures et tu cris.
Comment ne pas ressentir la douleur,
Quand on te frappe environ toutes les heures,
Et quand même la nuit tu revis ta frayeur.
Comment dire que tu veux que ça arrête,
Ces voix qui chuchotent, dans ta tête,
Et ces cicatrices qui signent ta défaite.
Tu ne peux rien faire,
À part peut-être te taire,
Pour ne pas crever salement par terre,
Battus par ton père…
Sachez que cette situation n'est pas réel!!!
_________________
Tu m'as guidé dans la pénombre,
Tu as marché dans les décombres,
Tu m'as montré le bon chemin,
Et toi, tu as brûlé le tiens...
Tu m'as dis, ne pleur pas,
Pourtant j'étais déchiré,
Je t'ai dis, ne part pas,
Mais tu t'es tout de même en aller...
Les rues représentient ton coeur,
Chaque jour tu les parcourrais,
Chaque instant était frayeur,
Et pourtant tu continuais...
La tête haute, fièr,
Sans t'en rendre compte,
Tu créais une nouvelle ère,
Toujours parcourant, un monde couvert de honte...
Tu étais un être appart,
Tu brillais de mille feux,
Mais quelque chose dans tes pensées, quelque part,
Rendait triste tes yeux...
Le jour où tout s'est arrêté,
Nous t'avons tous louangé,
Pour l'espoir que tu nous a donné,
Pour ton courage et ta fièrté...
Tu était un ami, un frère,
Grâce à toi le monde à changé,
Mais tu n'est plus seul dans cette guerre,
Même mort, nous allons terminer,
Ce que tu as commencé...
XD celui là, Way, tu le connais..
____________
Douce amertume du passé,
Violents souvenirs ressassés,
La vie ne fait que raviver,
Une tristesse accumulée.
Léger sourire sur son visage pâle,
On voit dans ses yeux l'eau qui s'étale,
Qui ensuite fait couler les larmes en rafale,
Qui tombe une par une tel les mots d'une fable.
Les ténèbres ont prit possession de son coeur,
Elle compte ses dernières heures de bonheur,
Et sur les minutes elle effleure,
Des rires cristallins plein d'ardeur.
Elle repense à ses amis, ses parents,
Sur son grand lit de drap blanc,
Elle sait qu'elle va mourir, elle le sens,
Elle vous dit "Adieu, je m'en vais maintenant...".
___________
Ils ne me laisseront donc jamais?
Ces rêves horribles que je fais,
Qui me torture certains soirs,
Ou j'en pleur... j'en ai marre.
Je me vois, me tranchant les veines,
Me regardant dans le miroir, sans peine,
M'écroulant sur le sol, presque morte,
Attendant que la Mort m'ouvre la porte...
Ou encore des images, des souvenirs,
Affreux, me déchirant, te voyant partir,
De ce même aéroport de Montréal,
Où mes larmes tombent en rafale.
Parfois, c'est moi, croyant les abandonner,
Peut-être que j'ai peur des les quitter,
Peur d'encore quitter quelque chose d'important,
Comme ma soeur, mon frère, mes parents...
Même si ce sont des rêves,
Ils ne me laissent aucune trêve,
Doucement ils me torturent,
J'en périrais, au fur et à mesure...
__________-
PS: Je ne les mets pas tous, sinon, ça risque d'être long... !!
Le son de la valse joyeuse
qui se répète et me rends heureuse,
Le temps s'arrête pour écouté cet air,
si je voulais danser il me suffirais de le faire,
Cette mélodie pourtant si jolie,
a un côté plein de mélancolie,
la faible voix qui nous fais rêver,
c'est pourtant simple, je ne peux plus m'arrêter,
j'ai l'impression d'être en train de voler,
voler comme ange libéré,
danser, ce n'est pas un crime,
entendez l'oiseau en haut de la cime,
vous rêverez, c'est sur,
mais en sortir, c'est moins sur!
__________
Un jour je partirai loin,
Dans un pays lointain,
Car je veux retrouver,
Cette amitié perdue.
Je veux regagner ta confiance,
Ne pas sombrer dans l'ignorance,
Que tu me dises la vérité,
De ton avenir, de ton passé.
Si tu veux que je te laisse,
Dis moi pourquoi tu es partit,
Dis moi pourquoi si soudainement,
Tu t'es enfui.
Tu as essayé de t'accrocher à la rive,
Pour pouvoir survivre,
Pour être sur d'assouvir ta vengeance,
Mais la rive croule sous la violence.
Pourquoi tuer celui qui a tué,
Pourquoi s'acharner,
Tu ne fais que t'épuiser,
Laisse le temps couler.
Laisse toi emporter par le courant,
Il te montrera le chemin,
Mais n'écoute pas ce chant,
Celui de l'incertain.
Si tu reviens,
Je t'attendrais,
Seulement si c'est la fin,
Alors ne reviens jamais…
________
Pourquoi ma vie sombre dans le désespoir,
Pourquoi est-ce que je vois tous en noir,
J’ai l'impression de tomber dans un gouffre,
Je sais, je souffre,
Mais comment remonter de si profond,
Je suis dans un océan,
Je me noie,
Je n'arrive pas à trouver d'issues,
Je ne peux même pas compter la malchance que j'ai eue,
Ça n'a plus d'importance,
Je me noie, je ne peux nager dans la souffrance,
Je coule, je n'en peux plus,
Lassez-moi, ma vie, je ne la veux plus...
__________-
J'ai pleuré toute la nuit,
J'ai pleuré jusqu'à aujourd'hui,
Je pleurerais demain,
Et le reste de ma vie.
Les larmes ont coulés une par une,
Tel l'eau du robinet qui fuie,
Toute les nuit en regardant la Lune,
J'entends souvent un cri.
Ce cri, c'est celui de mon cœur,
Un cri remplie de terreur,
Effrayé par la noirceur,
Celle qui renferme toutes les peurs.
Celle pourtant qui craint,
Tout ce qu'elle chérit,
C'est un sombre dessein,
Un cercle infini.
Mais l'arme qui a servit,
À me faire souffrir,
Est toujours ici,
Planté dans mon cœur, pour me voir mourir…
___________________
Ça y est je suis prête,
J'entends les clochettes,
Je m'avance vers l'hôtel,
À chaque pas un peu plus éternelle.
La soie rouge recouvre le lit,
Comme un bain de sang qui s'étant à l'infini,
Le blanc brillant de chaque petit pli,
À cette simple idée je souris.
Je me glisse sous les draps de soie,
Je sens le rêve m'emporter au temps des rois,
Et toujours je m'avance vers l'hôtel,
Toujours un peu plus éternelle.
Dans une cape virevoltant dans le vent,
En haut d'une falaise d'où on voit l'océan,
J'entends encore ce chant,
Le son des clochettes se rapproche.
Et toujours je m'avance vers l'hôtel,
Celui qui me rendra éternelle,
L'hôtel de la mort,
Je serais éternelle encore et encore…
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Seule dans les limbes de mes souvenirs,
Seule, l'avenir me réserve le pire,
À coups d'épées je suis le courant,
Celui du temps, celui du sang,
Mais je sais que sur ce navire,
Je ne pourrais certainement pas parvenir,
À rejoindre les côtes du mon pays,
Car c'est seulement là-bas que je souris,
Seule dans le donjon des martyres,
Seule, je ne peux pas rire,
Ces visages me regardent fixement,
J'attends, j'attends le bon moment.
Le moment de s'évader,
Il est enfin arrivé,
Courons, courons,
À en perdre la raison,
Reprenant mes esprits,
Je prends mon épée et me dit :
Non, ce n'est pas fini,
Je me battrais toute ma vie,
Les instants de gloire m'attendent,
Il suffit de m'y rendre,
Et dans la foulé, je traverserais,
Afin d'y arriver, à ce moment de gaité.
______________-
Dans la clarté du matin,
On trouve toujours un léger chagrin,
C'est la rosée au levé du soleil,
Quand les fleurs s'éveillent.
Quand on y met les pieds,
C'est légèrement mouillé,
Et puis les perles disparaissent,
Pour devenir ivresse.
Tout doucement,
Les cheveux dans le vent,
Le soleil réchauffe l'air,
Et ma peau claire.
Assise sur la terre humide,
Jouent avec cette eau limpide,
La faisant passer entre mes doigts,
Elle glisse et retombe plus bas.
Bercée par le paysage,
On croirait un présage,
Une illusion profonde,
Une vie sans encombres.
La journée passe,
Et moi je trépasse,
Entre la vie et la mort,
Je rêve encore.
Le soleil se couchant,
Moi, m'allongeant,
Profitant de mes derniers instant,
Je revois mes précieux moments.
Certains tristes,
Quelques-uns heureux,
La plupart insistent,
Pour rester dans mes yeux.
Je sens le vent m'emporter,
Vers les étoiles brisées,
Celles qui sont nées déchu,
Et sont mortes dans les rues.
Je suis née éclatante pourtant,
Mais j'ai reçu le châtiment,
Celui d'être brisé,
À tout jamais.
Pourquoi?
Parce que,
J'ai vécu dans la mort,
En ayant des remords,
Je suis morte dans les prés,
Chaleureux et ensoleillés...
_____________
Chaque pas est une douleur,
Chaque son donne mal au cœur,
Et tous les jours elle effleure,
Les remparts de son cœur.
Elle parcourt son chemin,
De vie qui mène loin,
Plein de recoins,
Pour rester loin.
Loin de tous ces regards,
Des mots à son égard,
De tous ces fêtards,
Qui ne pensent qu'à la gloire.
Elle, seule, dans ses pensées,
Ne pense qu'à se suicider,
À finir cette soirée,
Sous le ciel étoilé.
Calmement, elle descend,
Un couteau dans les mains,
Tout se passera bien,
Dans son sang, elle baignera demain.
Ce lendemain qu'elle ne verra pas,
Ce lendemain qui semble incertains,
De se montrer ou pas,
Car il n'a pu la sauver cette fois.
___________
Comment décrire ce que l'on ressent,
Quand tous les jours, les passants,
Te regarde de cet œil, bizarrement.
Comment accepter la vérité aujourd'hui,
Si à chaque soir, toutes les nuits,
Tu pleures et tu cris.
Comment ne pas ressentir la douleur,
Quand on te frappe environ toutes les heures,
Et quand même la nuit tu revis ta frayeur.
Comment dire que tu veux que ça arrête,
Ces voix qui chuchotent, dans ta tête,
Et ces cicatrices qui signent ta défaite.
Tu ne peux rien faire,
À part peut-être te taire,
Pour ne pas crever salement par terre,
Battus par ton père…
Sachez que cette situation n'est pas réel!!!
_________________
Tu m'as guidé dans la pénombre,
Tu as marché dans les décombres,
Tu m'as montré le bon chemin,
Et toi, tu as brûlé le tiens...
Tu m'as dis, ne pleur pas,
Pourtant j'étais déchiré,
Je t'ai dis, ne part pas,
Mais tu t'es tout de même en aller...
Les rues représentient ton coeur,
Chaque jour tu les parcourrais,
Chaque instant était frayeur,
Et pourtant tu continuais...
La tête haute, fièr,
Sans t'en rendre compte,
Tu créais une nouvelle ère,
Toujours parcourant, un monde couvert de honte...
Tu étais un être appart,
Tu brillais de mille feux,
Mais quelque chose dans tes pensées, quelque part,
Rendait triste tes yeux...
Le jour où tout s'est arrêté,
Nous t'avons tous louangé,
Pour l'espoir que tu nous a donné,
Pour ton courage et ta fièrté...
Tu était un ami, un frère,
Grâce à toi le monde à changé,
Mais tu n'est plus seul dans cette guerre,
Même mort, nous allons terminer,
Ce que tu as commencé...
XD celui là, Way, tu le connais..
____________
Douce amertume du passé,
Violents souvenirs ressassés,
La vie ne fait que raviver,
Une tristesse accumulée.
Léger sourire sur son visage pâle,
On voit dans ses yeux l'eau qui s'étale,
Qui ensuite fait couler les larmes en rafale,
Qui tombe une par une tel les mots d'une fable.
Les ténèbres ont prit possession de son coeur,
Elle compte ses dernières heures de bonheur,
Et sur les minutes elle effleure,
Des rires cristallins plein d'ardeur.
Elle repense à ses amis, ses parents,
Sur son grand lit de drap blanc,
Elle sait qu'elle va mourir, elle le sens,
Elle vous dit "Adieu, je m'en vais maintenant...".
___________
Ils ne me laisseront donc jamais?
Ces rêves horribles que je fais,
Qui me torture certains soirs,
Ou j'en pleur... j'en ai marre.
Je me vois, me tranchant les veines,
Me regardant dans le miroir, sans peine,
M'écroulant sur le sol, presque morte,
Attendant que la Mort m'ouvre la porte...
Ou encore des images, des souvenirs,
Affreux, me déchirant, te voyant partir,
De ce même aéroport de Montréal,
Où mes larmes tombent en rafale.
Parfois, c'est moi, croyant les abandonner,
Peut-être que j'ai peur des les quitter,
Peur d'encore quitter quelque chose d'important,
Comme ma soeur, mon frère, mes parents...
Même si ce sont des rêves,
Ils ne me laissent aucune trêve,
Doucement ils me torturent,
J'en périrais, au fur et à mesure...
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PS: Je ne les mets pas tous, sinon, ça risque d'être long... !!
Keira- /Capitaine de la 2éme Division/Co-Fondatrice/Tête Brulée/
-
Nombre de messages : 485
Age : 29
Localisation : La ou je serais heureuse..
Date d'inscription : 05/03/2008
Bleach RPG
PV:
(25600/25600)
PP:
(6400/6400)
Experience:
(25600/25600)
Re: Mes poèmes :: Keira
eh bas....
j'en lirai un par jour pour dormir^^
j'aime bien :
sinon c vrai que je le connai l'autre^^
j'en lirai un par jour pour dormir^^
j'aime bien :
- Spoiler:
- Douce amertume du passé,
Violents souvenirs ressassés,
La vie ne fait que raviver,
Une tristesse accumulée.
Léger sourire sur son visage pâle,
On voit dans ses yeux l'eau qui s'étale,
Qui ensuite fait couler les larmes en rafale,
Qui tombe une par une tel les mots d'une fable.
Les ténèbres ont prit possession de son coeur,
Elle compte ses dernières heures de bonheur,
Et sur les minutes elle effleure,
Des rires cristallins plein d'ardeur.
Elle repense à ses amis, ses parents,
Sur son grand lit de drap blanc,
Elle sait qu'elle va mourir, elle le sens,
Elle vous dit "Adieu, je m'en vais maintenant...".
sinon c vrai que je le connai l'autre^^
Waylander 94- /Capitaine de la 10e Division/
-
Nombre de messages : 517
Age : 31
Localisation : dans mes quartier de la Soul Society
Date d'inscription : 06/03/2008
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(25600/25600)
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Experience:
(25600/25600)
Re: Mes poèmes :: Keira
Cool^^ bas bonne lecture pour chaque soir alors^^
Me too je l'm bien ce poème, c'est un de mes préféré^^
Me too je l'm bien ce poème, c'est un de mes préféré^^
Keira- /Capitaine de la 2éme Division/Co-Fondatrice/Tête Brulée/
-
Nombre de messages : 485
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(25600/25600)
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(25600/25600)
Re: Mes poèmes :: Keira
Un nouveau, en mémoire du fils de ma prof qui est mort la semaine passé..
Allongé dans son lit, visage pâle,
Plus de douleur, sommeil profond,
Dans la salle, tous ces gens, ils on mal,
Pleurent, crient, désespèrent, une raison.
Les enfants ne comprennent pas, confus,
Leur regard se perd, cherche quelqu'un,
Une personne dans la pièce, disparu,
Envolé dans le ciel, très loin.
Petit ange sur une étoile, sage,
Regardant la scène, là haut,
Se disant, chuchotant, "Â son âge?",
Ce garçon de 6 ans, mort, "Aussi tôt?".
Les parents déchirés, malades,
D'une perte si soudaine, inattendu,
Offrent des fleurs, couleurs fades,
Répétant, sans cesse ; "Nous l'avons perdu..".
L'ange pleur, lui aussi,
Car il aurait voulu, à jamais,
Rester près d'eux, en vie,
Mais son rêve, sous ses yeux, disparaît..
Allongé dans son lit, visage pâle,
Plus de douleur, sommeil profond,
Dans la salle, tous ces gens, ils on mal,
Pleurent, crient, désespèrent, une raison.
Les enfants ne comprennent pas, confus,
Leur regard se perd, cherche quelqu'un,
Une personne dans la pièce, disparu,
Envolé dans le ciel, très loin.
Petit ange sur une étoile, sage,
Regardant la scène, là haut,
Se disant, chuchotant, "Â son âge?",
Ce garçon de 6 ans, mort, "Aussi tôt?".
Les parents déchirés, malades,
D'une perte si soudaine, inattendu,
Offrent des fleurs, couleurs fades,
Répétant, sans cesse ; "Nous l'avons perdu..".
L'ange pleur, lui aussi,
Car il aurait voulu, à jamais,
Rester près d'eux, en vie,
Mais son rêve, sous ses yeux, disparaît..
Keira- /Capitaine de la 2éme Division/Co-Fondatrice/Tête Brulée/
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Nombre de messages : 485
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Localisation : La ou je serais heureuse..
Date d'inscription : 05/03/2008
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(25600/25600)
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(6400/6400)
Experience:
(25600/25600)
Re: Mes poèmes :: Keira
j'ai remarquer qu'aucun ne sentai la joie de vivre....meme si ils sont tresbien...
le noir avant tout hein ?
le noir avant tout hein ?
Waylander 94- /Capitaine de la 10e Division/
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Localisation : dans mes quartier de la Soul Society
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Re: Mes poèmes :: Keira
MDR tu as raison Way, comme si elle préférait tous ce qui est sombre..^_^
Mitaky- /Chef des Arrancars/
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Localisation : .. quelque part, dans une galaxie..
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(6400/6400)
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(25600/25600)
Re: Mes poèmes :: Keira
C'est la fin d'une journée ensoleillé,
C'est la fin d'un sourire instantané,
C'est le flash de la photo imprimée,
C'est le surnaturel de l'image déchirée.
C'est la fin d'un long câlin,
C'est la fin d'un cœur sain,
C'est la larme sur le tissu de lin,
C'est l'au revoir d'une main.
C'est la fin d'une vie entière,
C'est la fin de nos prières,
C'est le pas vers l'arrière,
C'est le recul de cette dernière.
C'est la fin de toute une vie,
C'est la fin d'un "Bonne Nuit"
C'est la fin de l'âme et de l'esprit,
C'est la fin de chaque nuit..
C'est la fin, tout simplement..
Keira- /Capitaine de la 2éme Division/Co-Fondatrice/Tête Brulée/
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