Livre
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Livre
La Guerrière Ailée - Moi/Keira : Rouge
L'invocatrice - Mel : Bleu
La Mage Révélatrice - Marie-Lou : Vert
La Sorcière des Ombres - Gab : Orange
La Prêtresse - Sarah : Violet
La Gardienne des Rêves - Marie-Mi : Olive
La Fée des Secrets - Camille : Jaune
La Chaseuse de Prime - Karine : Bleu Foncé
Le Chevalier Assassin - Math : Indigo
Le Démon - Quentin : Rouge Foncé
L'Elfe du Feu - Jess : Blanc gras
L'Elfe du Vent - Krii : Blanc souligné
Élémentaliste des Dragons - Évielle : Cyan
_________________________________________________________
L'invocatrice - Mel : Bleu
La Mage Révélatrice - Marie-Lou : Vert
La Sorcière des Ombres - Gab : Orange
La Prêtresse - Sarah : Violet
La Gardienne des Rêves - Marie-Mi : Olive
La Fée des Secrets - Camille : Jaune
La Chaseuse de Prime - Karine : Bleu Foncé
Le Chevalier Assassin - Math : Indigo
Le Démon - Quentin : Rouge Foncé
L'Elfe du Feu - Jess : Blanc gras
L'Elfe du Vent - Krii : Blanc souligné
Élémentaliste des Dragons - Évielle : Cyan
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L’air est chaud, lourd, presque étouffant. Il est 11h, nous sommes en avant midi, le soleil brûle déjà l’asphalte. Aujourd’hui, j’ai rendez-vous avec mes amis au parc de la Louisianne. Cela fait depuis le début de l’été que nous nous voyions, c’est super sympa, d’ailleurs, c’est moi qui est tendance à demander à ce qu’on le fasse. J’ai 13 ans, je suis une fille, je mesure 164 centimètres, j’ai les cheveux noirs et des yeux verts.
L’été s’annonce pluvieux, mais assez beau pour pouvoir se voir tous ensemble. Nous sommes près de 10 dans notre groupe, moi, je m’appelle Keira.
Ma mère est partie faire ses courses, ma sœur de 14 ans a ses cours d’été, et mon autre sœur travaille, elle a 19 ans.
Je ferme la porte à clé et marche les 15 rues qui me séparent du parc. Il est 2h de l’après midi, le soleil tape sur mes épaules découvertes. Je porte une camisole blanche, avec par dessus, une bleu turquoise, et des Jeans clair, m’arrivant aux genoux. Je porte ces vêtements à la demande de ma mère, elle trouve que je porte trop de noir, et qu’en été, le noir, c’est beaucoup trop chaud. J’ai fait coupé mes cheveux aux épaules il y a un mois, maintenant, ils m’arrivent aux omoplate. Je les attaches en queue de cheval tout le temps, et habille mes oreilles avec mes nouvelles boucles d’oreilles en forme de dents de requin.
J’arrive au parc 1h en retard, comme la plupart du temps, j’arrive soit en retard, soit en avance. L’herbe de notre « spot »devient de moins en moins courante, on s’amuse à se lancer de l’herbe. Il reste nos dégâts des autres jours ; sluch, bonbons, boissons, etc. Mel est déjà arrivé, Math, Sarah, Marie-Michelle, Marie-Lou, Gab, Karine et Camille aussi. Il ne reste que Quentin et moi, mais moi, je suis à 30 seconde d’arriver.
Tout le monde me voit, Sarah et Marie-Mi cours vers moi comme des folles, enfin, comme d’habitude quoi.
- Salut…
Je leur fait chacun un câlin puis je me dirige vers les autres avec elles. Je fais un signe de main à tous et m’assoie par terre.
On aime juste le plaisir d’être ensemble, c’est juste dommage que Quentin est des cours d’été, ça fait une personne de moins avec qui on peut avoir du fun.
Les blagues plate et les rires virevoltent, on cours pour ne pas se faire attraper et lancer de l’herbe, bref, c’est notre façon de s’amuser. On passe le reste de l’après-midi à faire ça, entre temps, vers 4h, Quentin est arrivé. Le soir arrive à petit pas, recouvrant le ciel d’un dégradé violet.
- Bon, faudrait peut-être y aller, y commence à faire nuit. Pi j’ai faim en plus.
Ça, c’est Marie-Lou.
- Ouai, moi aussi j’ai vraiment faim !
Ça c’est Sarah, elle se plaint d’être grosse et elle mange que des cochonneries, et pourtant elle est correct.
- Moi aussi je commence à avoir faim.
Ça c’est Math, le chum de Sarah. Tout les 2, ça fait près de 4 mois qu’ils sortent ensemble, si je me rappelle bien…
- Bin, Camille pi Karine aussi ont faim, donc bon, on va y aller…
Ça, c’est Mel.
Ça fait 5 sur 10…
- MOI AUSSI !
Bas nan, 6 sur 10… Gab, c’est une morfale, on pourra pas la changer de si tôt.
- Bas ok, mais moi j’ai pas trop faim, donc je ne mangerai pas beaucoup.
En fait, j’avais super faim, mais je veux pas avoir l’air de la fille qui crève de faim et qui vient chez les autres juste pour bouffer. J’oubliais, je suis un garçon manqué, le rose, c’est pas mon meilleur ami, les jupes et les roses non plus. Mais bon, chaque fille a ses complexes, moi je me trouve un peu grosse à mon goût, mais je fais en sorte de perdre du poids.
Tout ça, c’est mon été. Sauf une semaine au Lac St-Jean pour voir les baleines avec ma grand-mère, mon oncle, mon frère, ma sœur de 19 ans et ma mère. Mon autre sœur ne pouvait pas venir à cause de ses cours d’été.
J’ai déjà fait mon entrée au secondaire depuis 2 ans, j’ai 13 ans en secondaire 3, je vais avoir 14 ans. Je suis une mini-bolée, j’ai passé ma première année du primaire.
Maintenant, on est en plein milieu de l’hiver, le 27 Février, le jour de mon anniversaire. Je suis née à 8h32, à cette heure là, je vais avoir 14 ans.
J’ai changé, je suis devenu encore plus « dark » qu’avant, j’ai retrouvé la « non gêne » que j’avais autrefois ; je suis capable de foutre un poing dans la gueule d’une personne à l’école. Ma mère a beau vouloir m’habiller avec des couleurs vive, on fini toujours par sortir du magasin avec du noir, du rouge, et autres couleurs foncés.
Aujourd’hui je me sens pas bien, et pour tant, c’est mon anniversaire. J’ai ressentit une douleur atroce au dos en me réveillant ce matin, comme si on me lacérait avec un couteau, me faisant 2 entailles près des omoplates. Je ne me sens pas bien le reste de la journée, et encore moins bien lorsque la soirée arrive. Mes amies m’ont préparé une super fête pour ce soir, j’ai hâte d’u être malgré mon malaise. Ils trouvent ça nul que je ne suis pas en super forme mais bon, je vais y aller, c’est pour moi qu’ils ont tous préparé.
Quand je suis arrivée là-bas, je ne savais pas ce qui allait m’arriver, je me disait que ce serai une super soirée, qu’il n’y aurait pas de problèmes.
Ils ont décidé de faire ça chez Mel, j’ai demandé à ce que certaines personnes ne soient pas invitées, sinon, je risquais de m’engueuler avec elles.
Quand j’arrive là-bas, vers 4h, tout le monde cris « Bonne Fête Keira ! » et des confettis sont lancés ainsi que des guirlandes. Je me sens de moins en moins bien, mais je ne le fais pas paraître.
Dernière édition par Keira le Sam 26 Juil - 23:27, édité 2 fois
Keira- /Capitaine de la 2éme Division/Co-Fondatrice/Tête Brulée/
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Voici déjà la 2e partie du premier chapitre !
J’oubliais, ils ont invité 2 de mes amies du primaire, Jess et Krii, elles sont super ces deux là. Toujours là l’une pour l’autre, elles sont devenu meilleures amies en peu de temps. Bref, elles sont présente pour mon anniversaire. Jess a le cancer du cerveau, ça fait un an maintenant. Elle vit avec, mais depuis, elle vit sa vie à fond, et ça c’est génial.
La soirée continue, je regarde l’horloge, comme si j’attendais quelque chose. J’ai un mal de dos atroce, ça fait une heure que je suis assise dans un siège à ne pas bouger, je sens la fatigue monter, et pourtant il n’est que 8h.
Mel s’avance vers moi.
- Keira, ça va toujours pas ?
- Nan, jme sens de moins en moins bien… jvais aller prendre l’air, demande aux autres s’ils veulent venir.
- D’accord.
C’est partit, j’enfile mon manteau d’hiver et mes bottes, tout le monde sort dehors et je me tiens à Mel pour ne pas tomber.
- Mais c’est poche que tu ne puisses pas t’amuser complètement, en plus c’est ta fête…
- Je trouve ça chien pour moi aussi, t’en fait pas Marie…
Ce fut bref, mais je sentis une fois de plus la douleur de ce matin, mais en plus puissant. J’avais tellement mal que je me suis mise à genoux par terre, j’ai enlevé mon manteau et croisé les bras sur ma poitrine comme pour essayer d’enlever la douleur. Tout le monde s’est dirigé vers moi.
- Hey là, ça va ? Tu veux qu’on rentre ?
- Faudrait peut-être appeler l’hôpital quand même, c’est pas normal ton truc.
- Nan nan, on peut rester ici Math, et pas besoin d’appeler ton ambulance Quentin.
J’émis un petit rire qui fut coupé net par une seconde douleur, exactement aux omoplates. Des images passent à travers ma tête, un ange aux ailes noires, des yeux verts vifs, des cheveux longs jusqu’aux mollets… c’est étrange, cette fille me rappelle quelqu’un, pourtant, je ne la connais pas. J’ai cette impression de certitude, cette certitude que ça un rapport avec ma naissance, mais que j’ai tout oublié. Que soudainement, ça revient dans ma tête, comme un flash.
Nous étions rendu dans le parc qui était désert. La nuit avait déjà montré le bout de son nez à 5 heures, donc il faisait nuit noire.
8h30, je finis par crier, j’en peux plus.
- Keira, Keira ! Respire, okay, on va appeler l’hôpital. Mel, vas-y, on reste là.
- Nan Marie-Mi, Mel, ne va surtout pas appeler une ambulance, je t’en supplie…
J’essayais tant bien que mal de me relever, Krii me tendit sa main, je m’appuie dessus, Gab vient aider, je suis de nouveau debout.
- Je sais pas ce que j’ai… j’ai l’impression qu’on essaye de me transpercer le dos près des omoplates…
Je ne sais pas ce qui s’est passé dans les 2 minutes qui suivirent, mais ce que je sais, c’est qu’à 8h35, nous étions tous dehors dans la neige. Tous le monde me regardait soit avec effroie, ou avec étonnement, je n’étais pas sur. Je sentais comme des grandes mains dans mon dos, j’étais épuisé.
- Que… qu’est-ce qui s’est passé…
- Kei… Keira… heu, t’a comme… t’as des ailes dans le dos.
Je sens mon cœur s’arrêter, j’écarquille les yeux, je n’ai pas peur, je suis terrifié. Je voulais en être sur, sur que je ne rêvais pas, alors je finis par me lever, tout le monde continuait de me regarder.
- Tu me niaises là, hein ?
Je parlais à Quentin, j’avais la voie qui tremblais.
- Nan, je rêve pas tout le monde, elle a bien des ailes dans le dos ?
- Nan tu rêves pas Quentin, moi aussi je les vois… je pense que je devrais avoir peur, mais je sais pas, c’est comme si je savais que c’était pas dangereux..
Marie-Mi aussi les voyaient donc. Mais je sentais effectivement quelque chose dans mon dos, mais des ailes ?
- Je.. je sais pas quoi dire…
Je regarde tout le monde, finalement, aucun n’est effrayé, ils sont tous étonné ou fasciné.
Je n’arrivais pas à bouger les ailes, je ne comprenais toujours pas, j’étais perturbé. Je n’étais plus terrifié, je pense que la « confiance » que mes amis avaient me permettait de rester calme, de ne pas avoir peur.
Nous sommes resté là, j’essayais de bouger mes ailes, pour les voir. Ces mots ne me paraissaient pas normaux, mais bon, c’était le cas.
- Hey, mais attends… yen a une blanche, il y a une plume blanche !
- De quoi tu parles Krii… si j’ai des ailes, elles devraient être blanches, non ?
- Bien… elles sont noires… mais yen a une blanche…
Soudain, je sentie mes ailes bouger, par elle même. Elles se raprochaient de mon corps ; effectivement, elles étaient noires. Mais une plume blanche était visible. Quand l’aile qui comportait la plume se rapprochait assez, je pris la plume. Une lumière intense en jaillit, et je sentie le sol se dérober sous mes pieds. Tout le monde devait sentir cette même sensation puisqu’ils regardaient le sol, terrifiés.
La soirée continue, je regarde l’horloge, comme si j’attendais quelque chose. J’ai un mal de dos atroce, ça fait une heure que je suis assise dans un siège à ne pas bouger, je sens la fatigue monter, et pourtant il n’est que 8h.
Mel s’avance vers moi.
- Keira, ça va toujours pas ?
- Nan, jme sens de moins en moins bien… jvais aller prendre l’air, demande aux autres s’ils veulent venir.
- D’accord.
C’est partit, j’enfile mon manteau d’hiver et mes bottes, tout le monde sort dehors et je me tiens à Mel pour ne pas tomber.
- Mais c’est poche que tu ne puisses pas t’amuser complètement, en plus c’est ta fête…
- Je trouve ça chien pour moi aussi, t’en fait pas Marie…
Ce fut bref, mais je sentis une fois de plus la douleur de ce matin, mais en plus puissant. J’avais tellement mal que je me suis mise à genoux par terre, j’ai enlevé mon manteau et croisé les bras sur ma poitrine comme pour essayer d’enlever la douleur. Tout le monde s’est dirigé vers moi.
- Hey là, ça va ? Tu veux qu’on rentre ?
- Faudrait peut-être appeler l’hôpital quand même, c’est pas normal ton truc.
- Nan nan, on peut rester ici Math, et pas besoin d’appeler ton ambulance Quentin.
J’émis un petit rire qui fut coupé net par une seconde douleur, exactement aux omoplates. Des images passent à travers ma tête, un ange aux ailes noires, des yeux verts vifs, des cheveux longs jusqu’aux mollets… c’est étrange, cette fille me rappelle quelqu’un, pourtant, je ne la connais pas. J’ai cette impression de certitude, cette certitude que ça un rapport avec ma naissance, mais que j’ai tout oublié. Que soudainement, ça revient dans ma tête, comme un flash.
Nous étions rendu dans le parc qui était désert. La nuit avait déjà montré le bout de son nez à 5 heures, donc il faisait nuit noire.
8h30, je finis par crier, j’en peux plus.
- Keira, Keira ! Respire, okay, on va appeler l’hôpital. Mel, vas-y, on reste là.
- Nan Marie-Mi, Mel, ne va surtout pas appeler une ambulance, je t’en supplie…
J’essayais tant bien que mal de me relever, Krii me tendit sa main, je m’appuie dessus, Gab vient aider, je suis de nouveau debout.
- Je sais pas ce que j’ai… j’ai l’impression qu’on essaye de me transpercer le dos près des omoplates…
Je ne sais pas ce qui s’est passé dans les 2 minutes qui suivirent, mais ce que je sais, c’est qu’à 8h35, nous étions tous dehors dans la neige. Tous le monde me regardait soit avec effroie, ou avec étonnement, je n’étais pas sur. Je sentais comme des grandes mains dans mon dos, j’étais épuisé.
- Que… qu’est-ce qui s’est passé…
- Kei… Keira… heu, t’a comme… t’as des ailes dans le dos.
Je sens mon cœur s’arrêter, j’écarquille les yeux, je n’ai pas peur, je suis terrifié. Je voulais en être sur, sur que je ne rêvais pas, alors je finis par me lever, tout le monde continuait de me regarder.
- Tu me niaises là, hein ?
Je parlais à Quentin, j’avais la voie qui tremblais.
- Nan, je rêve pas tout le monde, elle a bien des ailes dans le dos ?
- Nan tu rêves pas Quentin, moi aussi je les vois… je pense que je devrais avoir peur, mais je sais pas, c’est comme si je savais que c’était pas dangereux..
Marie-Mi aussi les voyaient donc. Mais je sentais effectivement quelque chose dans mon dos, mais des ailes ?
- Je.. je sais pas quoi dire…
Je regarde tout le monde, finalement, aucun n’est effrayé, ils sont tous étonné ou fasciné.
Je n’arrivais pas à bouger les ailes, je ne comprenais toujours pas, j’étais perturbé. Je n’étais plus terrifié, je pense que la « confiance » que mes amis avaient me permettait de rester calme, de ne pas avoir peur.
Nous sommes resté là, j’essayais de bouger mes ailes, pour les voir. Ces mots ne me paraissaient pas normaux, mais bon, c’était le cas.
- Hey, mais attends… yen a une blanche, il y a une plume blanche !
- De quoi tu parles Krii… si j’ai des ailes, elles devraient être blanches, non ?
- Bien… elles sont noires… mais yen a une blanche…
Soudain, je sentie mes ailes bouger, par elle même. Elles se raprochaient de mon corps ; effectivement, elles étaient noires. Mais une plume blanche était visible. Quand l’aile qui comportait la plume se rapprochait assez, je pris la plume. Une lumière intense en jaillit, et je sentie le sol se dérober sous mes pieds. Tout le monde devait sentir cette même sensation puisqu’ils regardaient le sol, terrifiés.
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Re: Livre
Le sol tremblait de plus en plus fort, petit à petit, la terre se dérobait sous nos pieds, la neige de même et nous ne pouvions rien y faire. Je sentais comme une attirance ainsi que la peur, je sentais qu’il fallait y aller, mais j’avais peur de découvrir pourquoi.
- AAAAH !!
- MARIE !
Le sol s’était complètement dérobé sous ses pieds. Chacun notre tour nous tombions dans ce gouffre. Je ne criais pas, je n’étais pas effrayé par la chute, tout le monde fini par se taire puisque la chute n’en finissait pas. Je fis une tentative de me rapprocher des autres, pour qu’on se tienne par la main durant la chute. J’attrape la main de Mel qui était tout proche de moi, je cris pour qu’elle comprenne mon idée et nous essayons à 2 d’atteindre les autres. J’attrape la main de Quentin, Mel de Marie-Mi et nous leur faisons part de l’idée. Marie-Mi attrape la main de Sarah, Sarah celle de Math, Quentin celle de Gab, Gab celle de Marie. Jess et Krii avait vu et c’était prit la main elles aussi, Math a prit la main de Krii, et Marie celle de Jess. Ça n’avait pas prit tellement de temps, mes ailes ont été utiles. Je sentais qu’on se rapprochais du sol, ça me faisait peur, comme allions nous stopper cette descente ? Je ne pourrais pas retenir tout le monde…
J’essayais le plus possible de maîtriser mes ailes, je fermais les yeux, les rouvrais, essayais de donner des ordres, rien. Nous étions de plus en plus proche du sol, je commençais à voir un lumière bleu, très étrange. Puis, comme une secousse, je sentis mes ailes bouger, voler d’elles même. Tout le monde sursauta, Jess perdit la main de Krii, maintenant retenu que par Marie. Tout le monde se tourne vers moi.
- Keira, c’est super que t’es arrêté la chute, mais Jess elle va tomber !
- Je sais Krii, merci ! Je sais même pas comment j’ai fait ça okay, ces foutus ailes bougent toute seule, je sais pas pourquoi je les ai, okay, alors tu m’excuses mais c’est pas le moment !
Je ferme les yeux et supplie mes ailes de bouger doucement pour que nous puissions descendre en douceur. Rien, elles restaient à battre à une vitesse constante ce qui fait que nous restions sur place, dans le vide.
- Merde ! Mais je dois faire quoi pour qu’elles bougent celles là !
- Bin je sais pas, essaye de faire comme si c’était tes bras, mais dans le dos…
- C’est pas con ce que tu dis Math, je vais essayer…
Une fois de plus, je ferme les yeux. Je bouge mon bras pour me faire une idée.
- Hey, fais attention quand même !
- Ta gueule Mel, je me concentre. C’est ça ou tu crèves de toute façon…
- Donc ça veut dire qu’on a des chances de crever !?
- Je sais pas, oui, c’est possible, qu’est-ce que tu veux, je suis pas Dieu ou Satan moi ! Je lis pas l’avenir et j’ai pas des supers pouvoirs comme SuperMan !
Tout le monde se tourne vers moi, en me regardant bizarrement.
- Oui bon, okay, j’ai rien dit…
Je referme les yeux et continue de me concentrer. Je sens que ça ralentit, mes ailes ralentissent !
La descente recommençais, mais doucement cette fois.
- Tu vois, on va pas crever finalement…
- Génial, ça me rassure tellement ! On sait même pas ce qu’il y a là bas, peut-être qu’il n’y a rien !
- Bin de toute façon, si tu crèves on s’en fou, t’es morte.
- Bin oui ! T’as peut-être envie de crever Gab, tu trouves ça peut-être drôle, mais pas moi !
- VOS GUEULES !
On avait crié ça tous ensemble à Gab et Mel.
- Ouai hein !
- Okay, nan Gab, vraiment, toi aussi ferme là.
Ce fut aussi vite que dans un ascenseur. Quand nous avons atteint la lumière bleu, je n’ai plus sentit la main de Mel ni de Quentin.
Que se passe-t-il ?
- AAAAH !!
- MARIE !
Le sol s’était complètement dérobé sous ses pieds. Chacun notre tour nous tombions dans ce gouffre. Je ne criais pas, je n’étais pas effrayé par la chute, tout le monde fini par se taire puisque la chute n’en finissait pas. Je fis une tentative de me rapprocher des autres, pour qu’on se tienne par la main durant la chute. J’attrape la main de Mel qui était tout proche de moi, je cris pour qu’elle comprenne mon idée et nous essayons à 2 d’atteindre les autres. J’attrape la main de Quentin, Mel de Marie-Mi et nous leur faisons part de l’idée. Marie-Mi attrape la main de Sarah, Sarah celle de Math, Quentin celle de Gab, Gab celle de Marie. Jess et Krii avait vu et c’était prit la main elles aussi, Math a prit la main de Krii, et Marie celle de Jess. Ça n’avait pas prit tellement de temps, mes ailes ont été utiles. Je sentais qu’on se rapprochais du sol, ça me faisait peur, comme allions nous stopper cette descente ? Je ne pourrais pas retenir tout le monde…
J’essayais le plus possible de maîtriser mes ailes, je fermais les yeux, les rouvrais, essayais de donner des ordres, rien. Nous étions de plus en plus proche du sol, je commençais à voir un lumière bleu, très étrange. Puis, comme une secousse, je sentis mes ailes bouger, voler d’elles même. Tout le monde sursauta, Jess perdit la main de Krii, maintenant retenu que par Marie. Tout le monde se tourne vers moi.
- Keira, c’est super que t’es arrêté la chute, mais Jess elle va tomber !
- Je sais Krii, merci ! Je sais même pas comment j’ai fait ça okay, ces foutus ailes bougent toute seule, je sais pas pourquoi je les ai, okay, alors tu m’excuses mais c’est pas le moment !
Je ferme les yeux et supplie mes ailes de bouger doucement pour que nous puissions descendre en douceur. Rien, elles restaient à battre à une vitesse constante ce qui fait que nous restions sur place, dans le vide.
- Merde ! Mais je dois faire quoi pour qu’elles bougent celles là !
- Bin je sais pas, essaye de faire comme si c’était tes bras, mais dans le dos…
- C’est pas con ce que tu dis Math, je vais essayer…
Une fois de plus, je ferme les yeux. Je bouge mon bras pour me faire une idée.
- Hey, fais attention quand même !
- Ta gueule Mel, je me concentre. C’est ça ou tu crèves de toute façon…
- Donc ça veut dire qu’on a des chances de crever !?
- Je sais pas, oui, c’est possible, qu’est-ce que tu veux, je suis pas Dieu ou Satan moi ! Je lis pas l’avenir et j’ai pas des supers pouvoirs comme SuperMan !
Tout le monde se tourne vers moi, en me regardant bizarrement.
- Oui bon, okay, j’ai rien dit…
Je referme les yeux et continue de me concentrer. Je sens que ça ralentit, mes ailes ralentissent !
La descente recommençais, mais doucement cette fois.
- Tu vois, on va pas crever finalement…
- Génial, ça me rassure tellement ! On sait même pas ce qu’il y a là bas, peut-être qu’il n’y a rien !
- Bin de toute façon, si tu crèves on s’en fou, t’es morte.
- Bin oui ! T’as peut-être envie de crever Gab, tu trouves ça peut-être drôle, mais pas moi !
- VOS GUEULES !
On avait crié ça tous ensemble à Gab et Mel.
- Ouai hein !
- Okay, nan Gab, vraiment, toi aussi ferme là.
Ce fut aussi vite que dans un ascenseur. Quand nous avons atteint la lumière bleu, je n’ai plus sentit la main de Mel ni de Quentin.
Que se passe-t-il ?
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Re: Livre
CHAPITRE 2 !
La lumière bleuté était trop aveuglante, ce qui m’obligeait à fermer les yeux. Ça me paraissait interminable, ce n’est qu’au bout d’un bon moment que je me sentis toucher les sol. Quand la lumière disparu, j’ouvris les yeux.
J’avais des lances qui m’entouraient, ou plutôt des personnes qui m’entouraient, avec leur lance. J’en fixais un ; il avait des ailes blanches. Je tourne sur moi même et les regarde un par un ; ils ont tous des ailes blanches. Ce n’étaient que des hommes, tous vêtu d’une armure légère et blanche. À force, je finis par me désintéressé d’eux. La pièce était vaste, les murs d’un blanc laiteux, orné de tissus bleus et dorés. Ça ne me plaisait pas du tout, moi qui aimait le noir et le rouge. D’ailleurs, je regarde un peu mes vêtements par rapport à tous ces ornements colorés… je fais tâche dans le décors. Je continue de regarder ; le plafond est une gigantesque fresque avec pleins d’anges… enfin, des hommes et des femmes avec des ailes blanches. J’étais dans un genre de temple grec, de grande colonnes à l’entrée… ou la sortie, puisque c’était des 2 côtés que l’on retrouvait la même chose, bref, beaucoup trop symétrique à mon goût. L’un des hommes me fit redescendre sur Terre… enfin, je n’était pas sur si c’était la planète Terre, mais il y avait bien quelque chose de dur sous mes pieds, je peux donc en déduire que c’est comme une planète.
- Qui êtes vous ? Comment se fait-il que vous ayez des ailes… noire ?
Il avait dit le mot « noir » avec un tel dégoût, je pense que j’étais répugné de sa personne juste par sa répugnance envers la couleur de mes nouvelles ailes.
- Qui suis…
Je sentais comme une sorte d’élan, comme si je pouvais lui dire n’importe quoi, je ne me sentirais pas coupable… de l’assurance, c’est ça.
- Je suis une humaine devenu une humaine ailée… Bien, de toute façon je peux bien vous poser la même question, c’est vous qui nous avez fait venir, non ? Et si c’est vous, vous voulez bien me dire pourquoi c’est aussi douloureux d’avoir des ailes qui nous poussent dans le dos !?
Tous se regardèrent intrigué et haussèrent les épaules. Tant qu’à moi, je venais de me rendre compte que mes amis n’étaient pas là.
- Où sont mes amis ?!
- De quoi parles-tu ? Tu es seule à être arrivée, personne d’autre n’est apparu…
- Non, personne.
- C’est vrai, moi j’ai rien vu…
- Okay ! Vos gueules !
Ils n’avaient pas l’air de comprendre ce que j’avais dit, mais au moins ils s’étaient tu. Les lances toujours pointés vers moi, je trouvais ça désagréable.
- Vous pouvez pas baisser ces lances, c’est chiant les avoir autour de moi. C’est agressant.
- On peut pas, c’est le règlement, il faut attendre que notre Reine arrive…
Ce fut bref, une magnifique femme fit son entrée ; une grande robe blanche, bleue et argentée, avec un châle dorée et un fil d’or ornant ses cheveux blonds dorés, qui descendaient en boucles jusqu’aux fesses. Je la dépassait largement maintenant ; mes cheveux m’arrivaient jusqu’en bas des mollets, et les miens étaient noirs ébène, soyeux et plats.
Tous les hommes baissèrent les armes, les déposèrent à terre et s’agenouillèrent.
- Hey, je peux savoir pourquoi vous vous agenouillez devant un pouffiasse ?
Une fois de plus, je jugeais sans savoir, mais là, je pouvais pas m’en empêcher ; sa robe, sa façon de marcher, son regard hautain, en plus, elle est blonde. Tout le monde sait que les blondes sont idiotes, non ?
Un des soldats s’était levé et avait mit la pointe de sa lance sur mon cou. Je sentais un frisson me parcourir le corps, mais je n’avais pas peur, il n’oserait tout de même pas salir le plancher de sa demoiselle…
- Vas-y si tu l’oses…
Je lui fit un sourire narquois et il me regarda avec des yeux noirs…
- Suffit Karlos !
- Tiens, on parle ! Ravit de vous rencontrer, moi c’est Keira !
J’enjambais le pas, un des soldats voulu prendre sa lance, mais je pilais sur celle-ci. Je tendis ma main vers celle qu’ils appelaient Reine. Elle la regarda avec dégoût.
- Ouai bon bas ça va, j’ai lavé mes mains tout à l’heure si c’est ce que vous voulez savoir !
Je savais vraiment pas ce qui me prenait, les mots sortaient comme si on m’avait donné un texte et que je l’avais appris par cœur.
- Vous osez m’approcher avec vos sales pattes…
Je la regarde de haut en bas, sourcil levé.
- Oui bas vous êtes pas mieux que moi alors.
- Pardon ?
- Mais merde, t’es sourde ma vieille ?
- Moi, vieille ?!
J’étais exaspéré… soupir profond, et intense inspiration.
- Faut pas toujours prendre les mots à la lettre… mais il me semble que tu es plus vieille que moi.
- C’est tout à fait possible, mais je suis très jeune tu sauras, j’ai 112 ans.
- Waw, c’est ce que je dis, t’es vieille.
- PARDON !?
- Bas ouai, on a 102 ans de différence, j’ai 14 ans.
- Tu veux dire, 114 ans plutôt ?
- En plus ma théorie s’avère vrai, tu es sourde. J’ai dit que j’avais 14 ans !
- Alors tu viens de la planète Terre si tu dit avoir cette âge là. Mais dans notre monde tu aurais 114 ans.
- Ha… bas j’ai rien dit, t’es jeune.
- Merci.
Les gardes s’étaient déjà rassemblés et m’avaient entourés.
- Est-ce que je peux vous posez une question ?
- Pourquoi pas… je t’écoute.
- Comment ça se fait que j’ai des ailes, noires en plus, alors que je suis humaine ?
- Aucune idée. Maintenant, emmenez là, je vais voir ce que je vais faire de toi.
- Attendez, n’y a-t-il personne qui est arrivé ici avec moi !?
- Bien, s’il n’y a personne d’autre dans cette pièce, c’est que tu étais seule…
- Nan, je suis arrivée ici avec 11 autres personnes !
- Bien, c’est la preuve que non… allez, emmenez là moi.
Elle venait de me foutre en rogne. Mes ailes se mirent à battre toute seule ce qui créa un vent énorme, tous les soldats essayaient tant bien que mal de ne pas être emporté, ils finirent par s’aplatir contre les murs. La fille s’était couverte à l’aide de ses ailes. Quand ce fut fini, elle me regardait avec des yeux noirs, elle m’en voulait, mais je ne comprenais pas pourquoi.
- Comment oses-tu !?
- Quoi comment j’ose ?! Je refuse que tu me fasses quoi que ce soit, encore moins que tu me traites comme un moins que rien ! Je suis venu avec 11 autres personnes et j’entends bien les retrouver ! Maintenant, tu vas répondre à mes questions !
- Ah oui, et comment vas-tu faire ?
C’est vrai, elle avait l’air puissante, je ne serais donc pas apte à lui retirer les mots de la bouche.
- Alors laisse moi simplement partir.
- C’est hors de question, la loi est la loi.
- Je ne connais pas vos foutu lois ! C’est clair ?! J’en ai rien à ciré de vos lois !
Elle cracha sur le sol, je la dégoûtait réellement.
- Une vrai humaine, incapable de parler correctement à ses supérieurs… en fait, tu es plus un démon, tes ailes sont noires et tu fais partit du monde des humains.
- J’ai rien à voir là-dedans, c’est vous qui avez dû m’appellez, parce que sinon j’aurais préféré rester dans MON monde, sans ses foutus ailes !
Elle manifestait de l’intrigue par ce que je venais de dire.
- Tu veux dire que, tes ailes ne sont apparus il y a peu ?
- Oui, le jour de mon anniversaire tiens ! Comme si j’avais pas envie de m’amuser le jour de mon anniversaire !
Cette fois-ci, c’est la rage qui avait pris place dans ses yeux et sur son visage.
- ENFERMEZ LÀ AU FOND D’UN TROU ! Je ne veux plus JAMAIS entendre parler d’elle.
- JE REFUSE !
- Hey bien ce sera le cas…
Une chaîne en bronze fut lancé autour de moi.
Keira- /Capitaine de la 2éme Division/Co-Fondatrice/Tête Brulée/
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Re: Livre
Quand celle ci m’atteint, c’est comme une décharge électrique. Elle s’enroule autour de moi, comme un mécanisme automatique. Une nouvelle douleur s’empare de tout mon corps, je tombe à genoux puis m’étale sur le sol, incapable de bouger.
Qu’est-ce que c’est que ce truc… ça fait super mal…
J’avais un goût de sang dans la bouche, mais ce n’était pas par hasard, cette chaîne, c’était plus que du bronze, un métal qui y ressemblait peut-être.
Je sentais les chaînes se resserrer autour de moi, ça m’étouffait de plus en plus. À force, je finis par cracher le sang qui s’accumulait petit à petit dans ma bouche. Je n’arrivais pas à me débattre, cette sensation me déplaisait. J’essayais de bouger, mais en vains. Je n’arrivais même plus à parler, j’étais trop désemparée face à la situation.
Tout le monde… c’est moi qui les ai entraîné là-dedans, sans même le savoir. J’aurais dû rentrer à la maison et tout ça ne serait pas arrivé, je ne sais pas où ils sont actuellement…
Je me devais de les retrouver, je me sentais trop coupable. Mais comment pouvais-je le faire si j’étais entraver avec cette chaîne ?
Peut-être que… mes ailes ?
C’était une idée comme une autre, il fallait que je me débarrasse de ce truc. Un des gardes avait déjà empoigné la chaîne et me traînait. Mes pieds cognaient sur les marches en marbre, des arbres gigantesques était sur chaque marche, à chaque côté de chacune. C’était, une fois de plus, beaucoup trop symétrique à mon goût.
Je devais me concentrer, essayer de faire bouger mes ailes qui étaient elles aussi entravé avec le lien. Je fermais les yeux, essayait de ressentir les ailes comme si c’était mes bras. Je réussis, mais à peine, les plumes ne faisaient que frémire.
- AAAAAH !
Un cri, un simple cri, puis un bruit sourd. Mais la voix m’était familière, très familière même. J’essaye de tourner la tête pour voir, mais je n’y parviens pas. Le garde avait stoppé sa descente et regardait en haut des marches… enfin, c’est ce qu’il me semblait. Le garde restait sur place puis se mit à courir. Ça faisait mal au pied à force, j’en avais marre, en plus, je ne comprenais pas pourquoi il courrait. Les marches étaient interminable, ça en devenait essoufflant.
- Hey ! Espèce de con ! Tu vas voir, je vais t’attraper et te tuer, et quand ce sera le cas, tu vas regretté d’être née ! En plus, j'ai mal au fesse à cause de l'atterrissage !
C’était Gab, ce qu’elle venait de dire me fit rire. Mais le garde continuait de courir.
- Arrête de courir !
Je sentais qu’elle s’était arrêté, elle devait être essoufflé. Le garde s’était arrêté net et tremblait, il lâcha la chaîne et se mit à courir en criant. Je ne comprenais pas ce qui se passait., mais j’avais mal à la tête, le garde ayant lâché le lien, ma tête avait atteint brutalement le sol.
- Keira ! Allez, viens !
Je ne pouvais pas répondre, ni même bouger, comment voulait-elle que je vienne !
Mais elle dû comprendre puisque je vis son visage par dessus le miens. Je lui fit comprendre en essayant de me détacher, que justement, j’étais dans l’incapacité à me détacher. Donc elle enleva la chaîne qui m’entravait. Je m’assois sur les marches, j’étais trop crevé pour courir.
- Il ne reste que peu de temps pour le sors, faut se dépêcher.
Je lève la tête et la regarde d’un air perplexe. Elle portait des pantalons très larges et noirs, avec un chandail moulant au corps et large à partir des bras. Des bracelets en cuir rouge et noir ornait ses poignets, ça allait parfaitement avec son chandail rouge et noir, mais au pied, elle avait ses Converse habituelle.
- Un sort ?
- Ouai, c’est cool hein ! Ça fait un an que j’apprends des sors et des potions, je suis une Sorcière de l’Ombre, ça a été mon titre puisque j’adore tout ce qui est noir, je n’ai appris que des sors de l’Ombre ainsi que des potions, mais j’en ai quand même appris pour la guérison.
- Un an ?!
- Ouai, je t’expliquerais plus tard, là il faut vraiment se dépêcher !
- Mais attends, je peux pas courir moi ! Cette chaine m’a foutu en l’air mon énergie, en plus, il faut retrouver les autres !
- Tiens, prends ça.
Elle m’avait tendu un flacon bleuté.
- C’est une potion de guérison, dans 5 minutes tu seras sur pieds, alors viens, tu vas la boire pendant qu’on marche.
J’ouvris la petite bouteille et en avala le contenu. Je souris à Gab, elle avait de l’assurance, elle savait ce qu’elle faisait, comme si elle avait étudié chacun des mouvements qu’elle allait faire.
Je me lève et lui fait signe que nous pouvons y aller. Je cours du mieux que je peux, mais je titube. Je ne cherche pas à savoir ce qui s’est passé tout à l’heure, elle m’expliquera bien, c’est ce qu’elle m’a dit.
Qu’est-ce que c’est que ce truc… ça fait super mal…
J’avais un goût de sang dans la bouche, mais ce n’était pas par hasard, cette chaîne, c’était plus que du bronze, un métal qui y ressemblait peut-être.
Je sentais les chaînes se resserrer autour de moi, ça m’étouffait de plus en plus. À force, je finis par cracher le sang qui s’accumulait petit à petit dans ma bouche. Je n’arrivais pas à me débattre, cette sensation me déplaisait. J’essayais de bouger, mais en vains. Je n’arrivais même plus à parler, j’étais trop désemparée face à la situation.
Tout le monde… c’est moi qui les ai entraîné là-dedans, sans même le savoir. J’aurais dû rentrer à la maison et tout ça ne serait pas arrivé, je ne sais pas où ils sont actuellement…
Je me devais de les retrouver, je me sentais trop coupable. Mais comment pouvais-je le faire si j’étais entraver avec cette chaîne ?
Peut-être que… mes ailes ?
C’était une idée comme une autre, il fallait que je me débarrasse de ce truc. Un des gardes avait déjà empoigné la chaîne et me traînait. Mes pieds cognaient sur les marches en marbre, des arbres gigantesques était sur chaque marche, à chaque côté de chacune. C’était, une fois de plus, beaucoup trop symétrique à mon goût.
Je devais me concentrer, essayer de faire bouger mes ailes qui étaient elles aussi entravé avec le lien. Je fermais les yeux, essayait de ressentir les ailes comme si c’était mes bras. Je réussis, mais à peine, les plumes ne faisaient que frémire.
- AAAAAH !
Un cri, un simple cri, puis un bruit sourd. Mais la voix m’était familière, très familière même. J’essaye de tourner la tête pour voir, mais je n’y parviens pas. Le garde avait stoppé sa descente et regardait en haut des marches… enfin, c’est ce qu’il me semblait. Le garde restait sur place puis se mit à courir. Ça faisait mal au pied à force, j’en avais marre, en plus, je ne comprenais pas pourquoi il courrait. Les marches étaient interminable, ça en devenait essoufflant.
- Hey ! Espèce de con ! Tu vas voir, je vais t’attraper et te tuer, et quand ce sera le cas, tu vas regretté d’être née ! En plus, j'ai mal au fesse à cause de l'atterrissage !
C’était Gab, ce qu’elle venait de dire me fit rire. Mais le garde continuait de courir.
- Arrête de courir !
Je sentais qu’elle s’était arrêté, elle devait être essoufflé. Le garde s’était arrêté net et tremblait, il lâcha la chaîne et se mit à courir en criant. Je ne comprenais pas ce qui se passait., mais j’avais mal à la tête, le garde ayant lâché le lien, ma tête avait atteint brutalement le sol.
- Keira ! Allez, viens !
Je ne pouvais pas répondre, ni même bouger, comment voulait-elle que je vienne !
Mais elle dû comprendre puisque je vis son visage par dessus le miens. Je lui fit comprendre en essayant de me détacher, que justement, j’étais dans l’incapacité à me détacher. Donc elle enleva la chaîne qui m’entravait. Je m’assois sur les marches, j’étais trop crevé pour courir.
- Il ne reste que peu de temps pour le sors, faut se dépêcher.
Je lève la tête et la regarde d’un air perplexe. Elle portait des pantalons très larges et noirs, avec un chandail moulant au corps et large à partir des bras. Des bracelets en cuir rouge et noir ornait ses poignets, ça allait parfaitement avec son chandail rouge et noir, mais au pied, elle avait ses Converse habituelle.
- Un sort ?
- Ouai, c’est cool hein ! Ça fait un an que j’apprends des sors et des potions, je suis une Sorcière de l’Ombre, ça a été mon titre puisque j’adore tout ce qui est noir, je n’ai appris que des sors de l’Ombre ainsi que des potions, mais j’en ai quand même appris pour la guérison.
- Un an ?!
- Ouai, je t’expliquerais plus tard, là il faut vraiment se dépêcher !
- Mais attends, je peux pas courir moi ! Cette chaine m’a foutu en l’air mon énergie, en plus, il faut retrouver les autres !
- Tiens, prends ça.
Elle m’avait tendu un flacon bleuté.
- C’est une potion de guérison, dans 5 minutes tu seras sur pieds, alors viens, tu vas la boire pendant qu’on marche.
J’ouvris la petite bouteille et en avala le contenu. Je souris à Gab, elle avait de l’assurance, elle savait ce qu’elle faisait, comme si elle avait étudié chacun des mouvements qu’elle allait faire.
Je me lève et lui fait signe que nous pouvons y aller. Je cours du mieux que je peux, mais je titube. Je ne cherche pas à savoir ce qui s’est passé tout à l’heure, elle m’expliquera bien, c’est ce qu’elle m’a dit.
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Re: Livre
CHAPITRE 3 !
Mes jambes étaient tout engourdies, ma vue était floue, mais j'avançais du mieux que je pouvais. Je ne savais pas où nous allions, elle me tirait par la main comme un chien en laisse, et je suivais. Une lumière m'aveugla puis plus rien.
Tout était sombre, je ne voyais rien. Je sentais de l'agitation autour de moi, comme si on s'affairait dans une cuisine pour préparer le repas des invités. Je tentai d'ouvrir les yeux, mais c'est comme si quelque chose m'empêchait de les ouvrir.
- N'essayes pas d'ouvrir tes yeux, tu vas les faire saigner.
Je ne comprenais pas pourquoi, mais je l'écoutais. Gab aurait vraiment vécu 1 an dans ce monde ? Enfin, ce monde, si s'en était un...
- N'essaye pas de bouger non plus, tu risques de te casser tous les membres en un seul mouvement. Tente de te rendormir plutôt, ça évitera les problèmes.
Je voulais ouvrir la bouche, pour pouvoir parler, mais elle m'avait dit de ne bouger aucun membre... est-ce que la bouche est un membre du corps ? Je ne pense pas, alors je tentai le coup.
- Gab ?
- Ouai, quoi ?
- Où est-ce qu'on est ?
- Dans le monde d'EnkWy. Le monde des sorcières si tu préfères.
- Des sorcières ? Alors, il n'y a que des filles ?
- Ouai, mais pendant la fête de Beltain, au printemps, les sorcières font leur tour dans Maâris pour faire tu sais quoi avec des hommes.
- L'amour, Gab, ou s'accoupler, il y a des mots pour ça tu sais ?
- Ouai, mais je n'aime pas les dire. Enfin, commençons par le principal. Nous sommes arrivés dans l'Espace, et nous avons chacun été dispersés dans les différents mondes. Ne me coupe pas.
Elle avait dû dire ça parce qu'elle savait que ça me paraissait complètement débile ce qu'elle me disait. D'ailleurs, j'étais confuse dans ce qu'elle disait.
- Tu te rappelles de ta fête ?
- Oui, je me rappelle de ce qui s'est passé tout à l'heure si c'est ce que tu voulais savoir...
- Oui, bon, pour toi c'était tout à l'heure, pour moi c'est il y a un an. Bref, la plume stellaire, la plume blanche parmi tes ailes noires, c'est grâce à elle que nous sommes arrivés ici. Elle nous a permit d'arriver dans l'Espace, c'est comme notre univers à nous, sauf qu'on peut respirer dans cet espace là. Mais il y a dans cet espace ce qu'on appelle le serpent de mer, il va tellement vite que, tout ce qu'on voit de lui c'est une ligne verte quand il passe. Et il est allé tellement vite qu'il nous a projeté chacun dans un monde. Tu étais dans le monde de Péganare, soit le monde des anges. La signification de ce nom reste douteuse, mais bon... je continue, le monde d'EnkWy, le monde où nous sommes actuellement toi et moi, c'est ici que je suis resté un an. Et je suis en train de me demander si le serpent savait où nous placer, parce que vraiment, je me trouve à ma place... désolé, je continue vraiment ; il y a, je te l'ai dit plus tôt, le monde de Maâris, soit le monde des humains. J'ai déduis avec l'Ancienne qui serait dans chaque monde, et il se trouve que nous sommes les seuls, avec Quentin, à avoir été séparé seul justement. Quentin se trouve dans Setharon, le monde des Enfers. Nous ne sommes pas au courant de ce qui se trame là-bas, mais on a des doutes. Il y a le monde d'Alfarmira, soit le monde enchanté. On pense qu'il y aurait Jessy, Christine, Marie-mi Camille et Sarah, mais si on veut les retrouver, on va avoir de la difficulté parce qu'il y a des luricans partout là-bas et ils n'arrêtent pas de jouer des tours. Ensuite, il y a le monde d'Eölzand où on trouverait Mel et Marie-lou... mais je te dis ça, ce n'est que selon nos déductions !
Je l'avais écouté les yeux fermer, et je réfléchissais en même temps à toute cette histoire qui allait beaucoup trop vite à mon goût.
- Ça veut donc dire que dans Maïs il...
- Pas Maïs, Maâris !
- Même chose... donc Ma-â-ris, comme tu dis, on retrouverait Math et Karine ?
- Tu as tout compris ! Il reste juste un monde, mais aucun de nous, selon la déduction de l'Ancienne et moi, n'aurait atterrit dans ce monde, le monde des dragons, ou le monde d'Azaron. Tout ce qui nous reste à faire c'est de trouver un moyen pratique et pas trop violent d'aller chercher tout le monde dans les autres mondes.
C'est au bout de 4 jours que je pu ouvrir les yeux et bouger. C'est avec une certaines crainte que je pris la peine d'ouvrir les yeux ; un plafond il me semble, en marbre bleu turquoise, s'étendait à l'infini. Je le fixai un moment et m'étira comme un gros chat à son réveil. Je pris le temps de m'asseoir et observa attentivement chaque détail.
La pierre sur laquelle j'étais allongée était noir jais, fait de marbre poli, de petites gargouilles étaient gravée aux quatre coins de l'autel. Des statues en marbres noirs de jeunes femmes étaient disposées à distance égale près du mur en céramique bleu marin, comme le reste de la pièce. De l'eau mon îlot de marbre.
Mon corps est engourdi de la tête au pied, comme si j'étais dans une sorte de transe. Au moment où je croyais
retomber dans un sommeil profond, des pas se firent entendre.
- Bien dormit mademoiselle ?
La voix était celle d'une enfant. Je tournais la tête à droite, à gauche, mais rien n'indiquait d'où provenait la voix.
Celle-ci rie.
- Tu ne me trouveras pas de cette façon, sois créative !
Je ne dis aucun mot et déposa mes pieds dans l'eau peu profonde. Elle était ni froide ni chaude, juste à la bonne température. Je regarda mon reflet dans l'eau et fus surprise en regardant ce que je portais ; un mini short noir fait avec des bandages, et un haut fait de la même façon recouvrant juste ma poitrine. On avait coupé mes cheveux à la taille, ils étaient maintenant d'un noir ébène. Mais ce qui m'étonnait le plus sur le moment, c'était que je n'avais plus les grandes ailes noires ! J'écarquilla les yeux et m'exclama :
- Où sont passées mes ailes ?
- Dans ton dos.
- Dans mon dos ?
- Oui, nous t'avons donné un produit qui a permit à tes ailes de rentrer. Sinon nous n'aurions pas pus t'allonger sur l'autel.
- D'accord... donc si nous en revenons à comment sortir d'ici... tu m'as dis d'être créative ?
- C'est vrai.
Voyons voir ; il y avait les statues des femmes...
- Qui sont ces femmes ?
- Les anciennes qui ont données leur savoir aux plus jeunes.
Je n'étais moi-même pas sur d'où je voulais en venir, mais une idée m'avait traversée la tête.
- Qui est la plus ancienne ?
- Cela me semble logique, quand on a apprit à lire l'heure.
L'heure ?
Effectivement, il y avait 12 sculptures de femmes. Il fallait simplement trouver l'ordre... Je m'avançais vers les statues et les examinait chacune à leur tour. Elles avaient des signes sur le front et détenaient une pierre de couleur dans leurs mains.
*- Bélier -
- Taureau -
- Gémeaux -
- Cancer -
- Lion -
- Vierge -
- Balance -
- Scorpion -
- Sagittaire -
- Capricorne -
- Verseau -
- Poissons -*
Je ne connaissais pas tous les signes astrologiques, mais je reconnaissais Verseau, les vagues ; Poisson, les demi-cercles avec la barre au centre ; Bélier, le V avec les boucles de chaque côté ; Cancer, le "69" allongé.
Je connaissais aussi certaines pierres ; le grenat pour le mois de Janvier, l'améthyste pour le mois de Février – que je connais car c'est mon mois de naissance – l'émeraude en Mai – puisque c'est ma pierre précieuse favorite – et le saphir en septembre – c'est le mois où l'on commence les cours.. Enfin, presque !
Si on y va dans l'ordre, grenat c'est Janvier, Améthyste février, et on continue vers la droite : Mars, Avril, Mai, Juin, Juillet, Août, Septembre, Octobre et Décembre.
- Bon, j'ai trouvé chacun des mois, mais je ne vois pas le rapport avec les heures...
- C'était un indice pour que tu trouves les mois.
- Quel est le rapport avec les mois et sortir de cet endroit ?
- ... Joyeux Anniversaire en passant...
- Joyeux Anniversaire ?
J'écarquilla les yeux : la date de mon anniversaire !
J'alla vers la statue représentée avec l'améthyste et l'observa. Je tournai autour durant un bon moment jusqu'à trouver, caché avec les yeux, des codes que l'on pouvait changer. Alors...
J'indiquai le 27 sur le premier œil, la femme représentait le mois, je n'avais plus qu'à indiquer l'année : 1995.
J'entendis un mécanisme dans le mur et la femme "Février" bougea pour laisser place à une jeune fille d'environs 8 ans.
- Alors c'est toi... l'indice de l'anniversaire était un peu facile, mais j'admets que je n'aurais pas trouvé sans, sauf si tu avais donné plein d'indices mais difficiles.
- J'y ai été contrainte, il y a le Bras Droit du Conseil qui veut te voir.
- Qui es-ce ?
- Celle qu'on nomme la "Sorcière des Ombres"...
*En temps normal, on est censé voir les signes et non les noms des signes !!
Keira- /Capitaine de la 2éme Division/Co-Fondatrice/Tête Brulée/
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